Life movie
c’est la vie qu’elle a choisie
c’est pas une maladie
la dictature de la raison
sur le tempo d’une chanson
sur le solipsiste pathétique
enfonce chaque jour un peu plus
le foret de l’insuffisance
dans sa plèvre et les respirations
s’abîment
la foi est l’eau vive
qui avec des lames d’argent
coupe l’amarre d’une existence
contenue et l’inonde
de perspectives joyeuses
une seule parcelle de joie
qu’elle n’abandonne pas
accompagne ses jours
jusqu’au bout de la course
au-delà du sente
elle est lumière
exit
l’éphémère
Carmen P.
Bonjour chère Carmen
Ça me fait penser à une personne auquel l’âme, la conscience, l’état d’esprit ont été insidieusement encerclés par des certitudes voulues rationnelles, voir égotistes et en son dernier
retranchement sur un tout petit ilot comme un naufragé, reste comme survie la joie, la faisant apparaître enfin à la lumière.
Bref quelque-chose comme ça
Merci au nom de la communauté,
En espérant que tu vas bien
Gros bisous
Le Noctamplume
Coucou Carmen…
Je vais te faire un aveu, j’aime bien la musique de tes mots, mais j’ai quelques problèmes sur le sens philosophique de ce texte. Mais c’est normal, je n’ai pas fait d’études philosophiques.
Heureusement, Alain est passé par là (ouf !) et en a fait une belle analyse…
Bisous et au plaisir de te lire !
Vivre, vivre, vivre, ne surtout pas survivre, il faut aller de l’avant.