Le blues…
Quand le rêve pénètre la réalité, monocorde.
Quand l’ennui éveille des désirs de fuite.
La route, alors nous invite à partir vers de nouveaux horizonS et nos chemins intimes s’embroussaillent dans nos esprits.
Tandis que le train… nous emporte vers un ailleurs qu’on espère meilleur, un enfant, à la barrière, nous regarde étonné.
Il sait qu’il devra attendre notre retour et espère, pour nous, que l’échappée sera belle.
Erin
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Bonsoir Erin,
Une rhapsodie de mots qui se lovent au plus intime du coeur…
A l’instar du spleen, le blues est très créatif.
Merci pour ce bel écrit, je viens du blog d’EvaJoe.
Excellente soirée, amitiés
Cendrine
Bonsoir Cendrine,
Merci d’être venue lire ce petit texte. Je voulais mettre d’autres photos mais je n’y suis pas parvenue.
Il me faut trouver la fonction « modifié » car j’ai oublié un s !
Je ne suis pas encore bien rôdée… ça va venir ! 🙂
Excellente soirée chez vous aussi.
Erin
Bonjour Carmen ! Merci pour Canned heat et tous les souvenirs que cela évoque… Belle journée et bises.
J’aime cette image de l’enfant (une part de nous sans doute) à la barrière et qui attend. Une belle inspiration.
Mes amitiés
Alain
L’enfant intérieur est souvent présent dans mes textes et quand il n’est pas nommé c’est peut-être lui qui dit les choses.
Bonne journée, Alain.
Erin
L’enfant sait que changer de lieu ne sert pas souvent. C’est bien pour cela qu’il attend le retour.
Bonne journée Erin
Bonsoir Carmen
L’enfant qui est en nous n’aimerait pas changer ses habitudes?
Je visite les nouveaux blogs de l’annuaire et je ne pensais pas tomber sur toi avec ce nouveau nom et design, c’est on ne peut mieux, comme ça je t’ai retrouvé
Je vais te faire un com de bienvenue et te mettre des étoiles dans l’annuaire
Bisous et merci pour ce beau poème
Le Noctamplume
L’enfant est toujours là, en nous, il sait que toutes les réponses sont à chercher à l’intérieur de nous, et que si on les trouve avant de se tourner vers l’extérieur et d’avancer, la route sera beaucoup plus belle…. mais parfois il nous faut partir, nous « aérer » ailleurs… et au retour on peut espérer renouer plus facilement le dialogue avec l’enfant.
Merci Alain d’être passé sur ces quelques mots arrachés à un quotidien qui ne me permet pas d’écrire.
J’oublie souvent de me connecter quand je vais sur l’annuaire !
Bon week-end, Alain.
Bonsoir Carmen,
L’enfant qui sommeille en nous, se rappelle toujours à nous… C’est souvent lui qui nous retient lors des moments de « spleen » que nous aimerions fuir pour nous envoler ailleurs…
J’aime beaucoup tes mots ; « l’image » du train et de la barrière est très bien trouvée.
Ravie d’avoir retrouvé le chemin de ton blog…
Douce soirée,
Cathy.
Bonsoir Cathy,
Une musique, une pensée d’Amérique (où vit mon fils) et le blues se mêle au spleen. C’est agréable parfois de se laisser aller à ce genre de voyage, en attendant de partir pour les US… bientôt.
Je suis tout autant ravie que toi de partager mes mots et de venir lire les tiens.
À bientôt sur ton blog.
Erin