Nuit romantique
deux arbres tricentenaires
veillent sur nos songes
Un lièvre — hautes pattes et grandes oreilles — prend le chemin…
son univers a du charme, il l’égaie par nature : il détale.
L’homme court plusieurs lièvres à la fois et en perd, souvent, le sentiment de la joie.
Une halte au Château du Pin nous délie des préoccupations qui ne sont pas essentielles.
Erin (Carmen P.)
il faut prendre le tps de regarder toute cette belle nature ne pas tjs détaler ou courir on arrivera tjs au au même but
Oui, il faut prendre le temps, flipperine. Parfois s’offrir un week-end ou une nuit dans un autre cadre permet de prendre le recul suffisant.
Bonsoir Carmen,
Quel beau décor. J’imagine la course du lièvre sur ce superbe tapis vert.
Courir plusieurs lièvres à la fois… et au bout du compte, demeurer les mains vides… le cœur lourd
En se recentrant sur l’essentiel, retrouver la sérénité
Douce soirée à toi Carmen
Martine
Le premier lièvre vu a orienté mes pensées de la sorte. Une pensée essentielle à partager. Amitiés Martine.
J’aime beaucoup ton style. Ces poèmes, haïkus ou pas, sont … limpides. Et tes mots font du bien.
Merci Carmen et bon week-end.
Tu as bien vu, louv’, ça ressemble à un haïku, mais ce n’en est pas un ! C’est un Ji tarazu dont les puristes se moquent ! On m’en a proposé une version clean qui pour moi n’a plus de sens. Entre faire un bon haïku et dire les choses avec ma sensibilité propre, je choisis sans hésiter. Si tu savais comme les puristes m’insupportent. Ma poésie est libre et mes poèmes courts tout autant !
Je souris car je constate que durant toute ma vie, quoique je fasse je n’accepte aucune contrainte (il y a en moi quelque chose qui tend à vouloir s’exprimer sans accepter les balisages)
Merci Louv’ pour ta lecture… l’essentiel est que les mots fassent du bien, quel que soit leur nombre de syllabes.
Il est très important de s’offrir des parenthèses romantique en des lieux qui ne le sont pas moins.
Les extérieurs et leurs habitants faunesques t’on inspirée de bien jolis mots.
Bise.
Philippe.
Je pensais ne rien pouvoir écrire, car une trachéite associée à une bronchite me fatiguait beaucoup. La chambre était réservée (cadeau d’un de nos fils) et le cadre m’a distrait… Je ne pouvais pas partir sans laisser quelques mots sur le livre d’Or de la suite George Sand (sur fb il y a d’autres photos).
Merci pour ta lecture, Philippe.
Un instant, se laisser aller en pensées, devant un décor naturel : de quoi se laisser charmer…Bises Erin
Oui Paradilalia… savourer ce que l’on peut saisir chez soi ou ailleurs.