Pas de ligne droite en marge de la nuit
Portant mitaines un parfum de poésie
frissonne aux bras nus du vent
La houle le saisit au vol
et dans un ravissement d’or-
-pailleur le disperse sur la grève
muette — vertige sous hypnose narcissique —
Les ballets oniriques gambadent fantaisistes
et dans leurs louvoiements chahutent les âmes jumelles
Les liens se nouent, se dénouent mais gardent l’empreinte
des soupirs comme caresses qui bruissent à l’infini
Le poète passe toujours à gué
son cœur patient drague les mots des profondeurs
il jongle avec les trésors des naufrageurs
et sème des étoiles sur les cris du cormoran
un poème onirique, beau et déroutant …
belle fin de journée
ce cormoran vole avec agileté…;comme tu sais l’écrire dans ta prose..;et le soir pas de vagues sans infini..;dans la lumière de la nuit……….bisesssssssssssss
claude
Que j’aime ce poète dragueur, semeur d’étoiles, que j’aime!
Merci, pour le plaisir de ma lecture.
Hélène*