Pensée de sable
La lumière caresse la vague, la pénètre.
La claque du vent, le baiser de foudre
creusent l’emblave………des
sédiments.
La cloche se fêle sous le feu des mots
et le souvenir se glisse par l’interstice.
Entends-tu encore hurler
les loups exaspérés ? Ils habitent en ces lieux
désertés que la mémoire lie parfois de ses sortilèges.
L’ombre sur la peau des songes dégriffe les marques
trépassées
*
Rond de plume
La vague, ample pétale, dévoile ses arcanes
chuchotement d’âme sur l’alphabet des runes
Ne pas se laisser glisser vers les tombes astrales
éclairer de la Terre la Vie et courber son arc
de la plume au cœur en langues de feu et d’eau
Que puis-je donner que je ne possède pas ?
.
J’ai du me tromper de texte, je ne vois plus grand chose et pourtant, c’est bien celui là que j’ai lu et que j’ai apprécié?
bisous
Bonjour Carmen,
Je viens te souhaiter un bon premier mai et déposer un petit brin de muguet!
Bonne journée
Rose
poésie bien ancre à l’encre de ta plume délicate….j’aime ton originalité….qui n’est pas ensablée…mais ses vagues sont douces…et je ma laisse bercé par ce vent venu de ton
esprit…bisessssssssss
claude
J’entends les loups hurler, j’essaie de déchiffrer les runes…magnifique poème !
Bonjour
C’est superbe, je trouve quand même qu’il manque le soleil, c’est pas une critique car je suis incapable de faire la même chose
Bonne journée
Méline