Quand les murs de vieilles pierres
baignés de lumière et de siècles
ressemblent à la tapisserie fleurie
vieux rose tremble mon coeur
caché sous le corail de la soie
et mes pensées carminent
que seul le futur chavire
Je le devine là
prélevant un soupçon
de présence et le confiant
au temps, ce grand amplificateur
derrière lequel tout s’efface
inexorablement
Carmen P.
.
C’est très beau et bien à la hauteur du paysage évoqué.
Merci, Mâyâlîlâ !
Quelques pierres caresses par le soleil et la pensée nous emmène dans une belle floralie de mots.Ton paysage est sublimé;
Oh qu’il aurait été dommage de ne point pouvoir te lire à cause d’un caprice de WP.
Belle fin de journée et bisous
EvaJoe
Eh oui, l’informatique me joue des tours en ce moment !
Merci d’avoir aimé cette ambiance estivale. Ah, se promener dans les vieilles ruines quand les vacanciers préfèrent d’autres loisirs !
Emmène moi dans ce futur.
Bon après-midi Carmen.
Bisous
Nous le préparons maintenant, Pimprenelle. Le présent est riche de son devenir. Je t’embrasse.
Les pierres ont une mémoire qu’elles cimentent au futur…
Nous le savons, Robert Henri, certains moments nous la rendent davantage perceptible.
(Encore une fois j’ai déserté les blogs pour mieux pouvoir finaliser un recueil. J’y reviendrai !)
Oui, ben on a tous des priorités!
(perso il m’arrive de délaisser le NET au profit d’activités qui se font au naturel…)
Bonjour Carmen,
Les vieilles pierres m’émeuvent toujours. C’est un beau support au voyage des pensées. Futur, passé, présent, tout se mélange et vogue la barque…
Magnifique paysage que tes mots accompagnent merveilleusement
Bises
Merci Martine.Leur solidité, leur droiture nous émeuvent. Nous mesurons notre fragilité, pas dans le sens de la comparaison, mais dans celui de l’émerveillement face à la vie.
je découvre et j’aime beaucoup chère Carmen.
Merci, Marie-Annick. Bon week-end !