dans l’Ouest, depuis les marches de la Bretagne historique jusqu’aux confins de l’Argoat. Le recueil a été publié en octobre 2010 chez TheBookEdition.
détachent dans le ciel.
ne connaît pas une plume. Mes inquiétudes se sont vite dissipées.
passion amoureuse dans une petite ville du Sud-Cotentin. En trois chapitres, l’histoire nous est contée avec beaucoup de rigueur. Un ton presque journalistique pour un engrenage de faits
réglés comme un mécanisme d’horloger. À partir du moment où les amants se sont reconnus, la passion les a sortis d’une existence monotone… existence vers laquelle ils ne pourront plus jamais
retourner.
vieillesse solitaire est bien lourde à porter. Le personnage, dont on découvre le passé, devient très attachant et, avec l’auteur, j’ai eu envie de le saluer à la fin de
l’histoire : « Kénavo, Jean-Marie Le Minter ! »
port de Bretagne, voit un jour son passé revenir vers lui. Comment ce «taiseux », habitué des bistrots, pourra-t-il affronter cette lame de fond ? Touchant.
On retrouve ici un enchaînement d’évènements qui va conduire deux êtres, après plusieurs mauvaises voies, dans une impasse… jusqu’à l’inévitable. Un fait divers traité avec tact, sans jugement
mais avec une grande ouverture de cœur.
fils justicier. Impeccable.
il est traité ici d’une façon inhabituelle et avec beaucoup de sensualité.
blessure d’amour propre parvient, bien des années après, à venger indirectement un acte resté impuni. Délicieusement macabre.
provoquer en elle la prise de conscience de l’intolérable, ce qui va la décider à sortir de l’enfer qu’est sa vie. Une belle maturation des pensées
de la jeune fille.
nouvelle.
d’obsèques. Les souvenirs reviennent et avec eux l’espoir fou que sa famille éprouve peut-être à son égard un soupçon d’affection. Dur.
regret, à cet avertissement qui me dissuade de tout partage. C’est le seul point négatif de ce recueil.
lecture avec ces personnages aux vies taillées par un souffle venu de l’Ouest.