Maison
une poussière de tendresse
s’est glissée sous ta paupière
tu pleures ! elle t’échappera
cette tristesse à qui tu as donné
corps
les pollens parfois sont allergènes
et les stigmates – trompes en nos cœurs –
gardent les blessures mi-closes
Oikô….. chacun est souverain dans sa demeure
Oikô….. que seul le vent libertin libère
Oikô….. sans frontière….. aux dimensions de l’Univers
glisse une larme jusqu’au lit du fleuve….. éternel
.